Assis dans son bureau sur sa ferme, Joe* parle des changements survenus depuis l'époque où son arrière-grand-père dirigeait la ferme : les progrès de la machinerie agricole, l'utilisation des téléphones intelligents, le travail dans un bureau et bien sûr , la taille des exploitations agricoles d'aujourd'hui. Alors que son arrière-grand-père travaillait sur 75 acres (100 acres si l'on inclut le bois), Joe exploite 3 000 acres.

Joe note les changements mais pas avec regret ni même nostalgie. Il n'a pas peur du changement. Dans son esprit, s’il existe une meilleure façon de faire quelque chose, il le fera.

Ce fut le cas il y a quelques années lorsqu'il souhaita étendre ses activités. Avec deux fils qui étudient l'agriculture à l'université et qui poursuivent tous deux une carrière sur la ferme familiale, Joe savait qu'il lui faudrait s'agrandir pour atteindre une échelle qui pourrait les soutenir tous.

Un terrain idéal était désormais disponible à la vente, mais selon Joe, après avoir analysé les chiffres, il savait qu'il lui serait difficile de l'acheter.

*Ce n'est pas son vrai nom.

Acheter ou louer des terres agricoles ?

 «Je n'arrivais tout simplement pas à faire fonctionner les chiffres», a déclaré Joe. « Même si l'agriculture fait partie de ma famille depuis des générations et constitue un mode de vie, c'est aussi une entreprise. Pour moi, c'est une question de bilan et de trésorerie. Pour acquérir ce terrain, j’aurais dû m’endetter trop et passer les 10 années suivantes à le rembourser. En fin de compte, les garçons n’auraient pas pu se le permettre de toute façon, alors qu’aurais-je gagné ? Rien!"

Au lieu de cela, Joe a contacté Bonnefield qui a acheté le terrain et le lui a reloué à long terme.

Joe a étendu ses opérations sans s'endetter davantage

« Ce que j'aime particulièrement chez Bonnefield, ce sont les baux à long terme. Dans le passé, j'ai pensé à louer des terres à d'autres, mais pour moi, cela n'apporte aucune sécurité. Je pourrais avoir toutes les terres prêtes pour la récolte, puis les propriétaires viendraient vendre la terre.

Sa décision de travailler avec Bonnefield n'a pas été approuvée par tout le monde. « De nombreux producteurs pensent qu’il faut tout posséder. Cela fonctionnait peut-être pour eux, mais cela ne fonctionnait pas pour moi ni pour mon bilan », a déclaré Joe.

Aujourd'hui, Joe est un gars heureux. Il cultive à l’échelle qu’il souhaite et avec un bilan sain. Il est également heureux de savoir qu'il est bien préparé pour prendre sa retraite et transmettre un jour la ferme à ses fils. Joe parle même de doubler sa ferme. Si le bon terrain devenait disponible, il travaillerait à nouveau avec Bonnefield.